Iain McNeish (Glasgow, Ecosse) (1) a présenté les résultats d’une étude de phase II qui, à l’aide d’une analyse génétique du tissu tumoral, a tenté de prédire quelles patientes souffrant d’un cancer ovarien répondraient bien au rucaparib, un puissant inhibiteur de PARP.
McNeish a...
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