Le 54ème congrès annuel de l’European Association for the Study of Diabetes a eu lieu à Berlin du 1 au 5 octobre.
Les personnes atteintes de diabète de type 1 (DT1) peuvent passer plus de temps à l’intérieur de la plage glycémique cible grâce à l’ajout de sotagliflozine à leur insuline.
L’EASD et l’ADA ont revu leurs recommandations conjointes à la lumière des études publiées depuis 2015. Ces recommandations mettent davantage l’accent sur la place centrale du patient, le contrôle du poids, l’inertie thérapeutique et l’adhésion au traitement.
Retrouvez ici les vidéos tournées à l'occasion de ce congrès.
Les résultats du programme de phase III EASE ont été présentés le 4 octobre à l’EASD et publiés simultanément dans Diabetes Care. Ils montrent que l’administration d’empagliflozine chez des patients adultes diabétiques de type 1 traités par insuline améliore significativement le contrôle glycémique et métabolique des patients.
La présentation du diabète de type 2 peut être différente chez l’homme et chez la femme. Une étude néerlandaise permet de mieux comprendre ces divergences genrées. L’impact hormonal n’est pas absent, mais il fallait encore le démontrer...
En 2017, l'essai clinique DiRECT (Diabetes Remission Clinical Trial) avait révélé que la progression du diabète de type 2 pouvait être inversée chez certains adultes en suivant un programme intensif de gestion du poids, mais personne ne savait quel était le mécanisme sous-jacent.
Un travail original révèle que la consommation d'édulcorants peut modifier la flore bactérienne présente dans l'intestin, avec des répercussions significatives sur la régulation de la glycémie.
Si la chirurgie de pontage gastrique offre des avantages évidents chez les personnes obèses atteintes de diabète de type 2, elle s’accompagne aussi d’une série d'effets indésirables potentiels qui nécessitent une surveillance et un traitement.
Les complications cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité chez le patient diabétique. Or, jusqu’à présent, le risque cardiovasculaire était abordé via le seul angle de l’athérosclérose. Les impressionnants résultats démontrés par l’empagliflozine nous amènent désormais à cibler aussi l’axe cardio-rénal.
De nouvelles recherches ont identifié quelques facteurs qui influencent le taux de progression du diabète de type 2 (DT2), et donc pourquoi il varie tant d'un patient à l'autre.
La prise en charge des patients diabétiques atteints de démence peut être très complexe, d’autant plus que les risques d’hypoglycémies sont plus importants et que, lorsqu’elles surviennent, elles provoquent des dégâts beaucoup plus importants.
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