Selon les sources, les pneumopathies médicamenteuses (PM) représenteraient entre 3 et 5% des pneumopathies interstitielles diffuses (PID). La PM peut se manifester sous différentes formes ayant en commun des opacités infiltrantes diffuses à l’imagerie thoracique et, à l’histopathologie, une atteinte inflammatoire et/ou fibreuse de l’interstitium pulmonaire et des alvéoles. Le nombre de molécules médicamenteuses impliquées dans la PM ne cesse d’augmenter. L’atteinte pulmonaire peut être sévère voire fatale, et le diagnostic de PM peut être difficile car il s’agit d’un diagnostic d’exclusion.
Un développement pulmonaire sous-optimal pendant l’enfance, entraînant l’incapacité d’atteindre une fonction pulmonaire maximale normale au début de l’âge adulte, affecte environ 4 à 12% de la population générale. L’identification de facteurs de risque modifiables est devenue un objectif central des recherches actuelles.
La prednisolone diminue la durée de séjour à l’hôpital des enfants admis en salle d’urgences pour wheezing associé à une infection virale.
Les dommages occasionnés par le tabagisme actif semblent être le fil conducteur qui relie trois affections broncho-pulmonaires fréquentes et délétères à savoir le cancer du poumon, la BPCO et l'emphysème.
Fumer de la marijuana est une cause incontestable de BPCO et d’inflammation des voies aériennes, du moins lorsque la consommation est élevée et chronique. Elle semble également être un facteur de risque de cancer du poumon, surtout lorsque l’habitude est prise dès le jeune âge, comme en témoigne une équipe de l’université de l’Arkansas après un parcours exhaustif de la littérature... Published ahead of print.
Medi-Sphere N° 777
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