Pas forcément d'intérêt pour une globalisation de la 4e dose, selon une étude israélienne

La chercheuse en chef d'une étude israélienne sur l'administration d'une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19 estime que les résultats - la multiplication par cinq des anticorps - sont "bons mais pas suffisants". "Il y a bien une augmentation, mais elle n'est pas vraiment impressionnante", estime la professeure Gili Regev mercredi. Peu après la quatrième dose, le niveau d'anticorps retrouve le niveau qu'il avait juste après la troisième. Les chercheurs en espéraient plus.

La professeure Regev estime que c'est une bonne chose que les groupes vulnérables comme les personnes immunodéprimées ou les plus de 60 ans puissent avoir accès à une deuxième dose booster en Israël. "Mais je ne suis pas certaine qu'il faudrait la donner à tout le monde. Nous avons besoin de plus d'informations."

Une autre étude sur l'administration de la quatrième dose a débuté ce mercredi dans un hôpital de Tel Aviv.

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