Traiter la goutte, c’est d’abord contenir la crise, c’est-à-dire raccourcir et diminuer l’intensité des épisodes douloureux dont l’évolution est favorable. Mais c’est aussi diminuer les stocks uratiques pour éviter la récidive des crises et les complications métaboliques au moyen des traitements hypo-uricémiants. Comment procéder au meilleur de l’intérêt du malade? Le point avec le Pr Tristan Pascart (Lille) dans le cadre de la réunion annuelle de la Société Française de Rhumatologie.
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