Face à l'engouement suscité par le jeu de réalité augmentée #PokemonGO, plusieurs institutions - musées, sanctuaires... - demandent de ne pas être repris dans cet immense terrain de jeu virtuel. Le CHU de Bordeaux rappelle qu'il n'est pas «un terrain de chasse».
«Respectez les patients et le travail des soignants», réclame l'hôpital. Plusieurs hôpitaux étrangers ont émis des consignes inderdisant de jouer intra-muros. Ainsi, le centre hospitalier de Lille (CHRU) a communiqué «quelques consignes de bon sens» aux joueurs via Twitter et Facebook en passant ce message «L'hôpital n'est pas un terrain de jeu».
En Belgique, selon un premier coup de sonde auprès des hôpitaux bruxellois et wallons, il n' ya pas de véritable phénomène PokemonGO. A la Clinique Saint-Jean, aux Hôpitaux Iris-Sud, à Jolimont, au CHR de Sambre & Meuse, au CHU Ambroise Paré, au CHR Mons Hainaut, au CHU UCL Namur, au CHU Saint-Pierre et au CHU de Liège, aucune «invasion» n'est à signaler. Les responsables communication soulignent que l'absence de wi-fi gratuit généralisé ou de «pokestop» et d'«arène» dans l'institution n'attire pas les chasseurs de Pokemon. 
