Après 6 ans comme médecin de campagne solo indépendant en Ardennes et Famenne et administrateur délégué de l’AGEF.be, le plus grand arrondissement belge pour un cercle de garde, je commence à bien connaître les rouages des soins de santé en Belgique. Comme mes amis acteurs de terrain, je ne me réjouis pas des promesses politiques dans la presse.
Face à l'expansion rapide des technologies numériques, nous nous trouvons à un carrefour crucial où le respect de la vie privée des patients et l'innovation technologique doivent coexister harmonieusement. Cet article vise à explorer comment nous pouvons équilibrer ces impératifs, en tenant compte des droits fondamentaux et des nouvelles possibilités offertes par la digitalisation des soins à domicile.
La Journée internationale de l'infirmière, célébrée le 12 mai, commémore l'anniversaire de la naissance de Florence Nightingale en 1820. Nous nous inspirons ici de l’approche factuelle qu’elle prônait pour mieux comprendre la pénurie de personnel infirmier et envisager des solutions adaptées à la situation en Belgique.
Je suis psychiatre au Service de Santé Mentale de Verviers. J'aurai 65 ans dans trois mois et je suis désemparée par le nombre d'appels quotidiens de patients qui ne trouvent pas de psychiatre. Il y a un an d'attente pour obtenir un rendez-vous. Sur le terrain, il me semble que les passages à l'acte sont en hausse.
La Commission anti-fraude de l'Inami a récemment publié son « Plan d’action en matière de contrôle des soins de santé 2024-2026 » Certaines pratiques attribuées aux maisons médicales ont été pointées du doigt. Fanny Dubois, Secrétaire générale de la Fédération des maisons médicales et des collectifs de santé francophone,a tenu à réagir.
Tout n’est pas rose à la médico-mut. Si c’est le lieu de nombreux consensus, les médecins peinent à obtenir un avancement réel de certains dossiers. En voici deux exemples : le financement des syndicats médicaux et les sempiternels bugs informatiques.
Je suis diplômée en médecine depuis 2019, j’ai terminé mon assistanat de médecine générale en 2022. Je suis issue des premières cohortes de médecins formés en 6 ans, confrontés tout au long de leurs études à cette crainte omniprésente : « Est-ce encore une formation de qualité ? », « Quel sera l’impact de ces quelques mois de stages en moins ? » Je fais partie de la génération dont parlent certains confrères quand ils disent « les jeunes ne veulent plus travailler »
En tant que Président du Conseil Médical d’un grand hôpital liégeois, je ne peux accepter l’idée d’une centralisation à outrance des programmes de soins spécialisés en hémato-oncologie pédiatrique dans quelques rares centres sans qu’il n’en existe au moins un en Wallonie. Cette centralisation de l’expertise serait contraire aux objectifs de santé publique, défavorable au devenir de jeunes patients et délétère à l’enseignement de cette spécialité et des spécialités médicales annexes dans notre région.
Généraliste à Heusy dans la province de Liège, j’ai été maître de stage pendant de nombreuses années. J’ai vu évoluer au cours du temps les conditions de formation des futurs généralistes, dans un sens qui ne me semble pas favorable. Plusieurs faits sont intervenus, avec pour conséquence une moins bonne qualité des futurs professionnels de première ligne. Quelques constats et réflexions sur la question.
Un rapide coup d’œil sur les nouveaux forfaits mensuels applicables en maison médicale à partir du 1er février 2024 laisse rêveur par rapport à ce que peut gagner un médecin généraliste travaillant à l’acte qui collaborerait avec un infirmier travaillant à l’acte lui aussi.
Bonjour, je vous laisse prendre connaissance de ceci : https://innowise.com/fr/blog/healthcare-trends-2025/ Les tendances émergentes en Belgique, notamment dans le domaine de la santé numérique et connectée, posent des défis importants en termes de formation des médecins....
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https://innowise.com/fr/blog/healthcare-trends-2025/
prosélytisme ? ...
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Un assuré sur 100 ne veut pas dire un pourcent des patients. Nuance importante.
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Medi-Sphere N° 776
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