La volonté du gouvernement bruxellois avec son nouveau Plan Santé est aussi de mettre en place une meilleure coordination des programmes de prévention en vue d’augmenter les taux de couverture des dispositifs de prévention.
Les politiques d’information en matière de prévention, de promotion de la santé, de dépistage et de vaccination sont encore très fragmentées à Bruxelles.
En créant Bruprévention , un point unique sur les politiques de prévention, la Commission Communautaire Commune entend donner un accès plus aisé à l’information sur la prévention en santé et en particulier sur les campagnes de prévention, de dépistage et de vaccination et une meilleure coordination des programmes de prévention en vue d’augmenter les taux de couverture des dispositifs de prévention.
Un exemple ? Le projet-pilote de dépistage du cancer colorectal.
Le kit de dépistage qui attend chez le médecin généraliste les Bruxellois de plus de 50 ans ne touche que 10 % du public concerné. Le kit va être aussi disponible en pharmacie.
L’objectif sera revu à la hausse : La Cocom entend toucher 25 % du public concerné dans les deux ans.
Article à compléter pour être exact. Le premier test peut aussi être donné par le MG. Pour les suivants l’invitation se faisait par courrier...bcp de patients n’y répondent pas plus. La prévention qui fonctionne: par courrier + téléphone pour les non répondants. https://t.co/kme7sbi8er
— Dr Thomas Orban (@OrbanDoc) 13 juillet 2018
Derniers commentaires
Jean-Louis MARY
25 juillet 2018Comme d'habitude , selon une pratique bien belge, tout le monde s'occupe de tout et le médecin généraliste se doit de tout centraliser et bien sûr d'en assumer la responsabilité ;
Quant au faible impact de la prévention menée, arrêtons cette course aux chiffres : le dépistage est sous la responsabilité du patient, il est informé des possibles dépistages et il décide, point final.
Dr Mary