Lors du congrès ‘La sécurité sociale du futur’, ce 28 février, la ministre De Block a brisé une lance en faveur d’un statut comparable pour les salariés, les indépendants et les fonctionnaires.
La commission de la Santé de la Chambre a approuvé mardi une proposition de loi des députés Damien Thiéry (MR), Nathalie Muylle (CD&V) et Ine Somers (Open Vld) qui donne un cadre légal à l'infirmier de pratique avancée.
L’Academisch Medisch Centrum (AMC) et le VU Medisch Centrum d’Amsterdam ont tout récemment ouvert de concert un nouveau centre de formation international destiné aux médecins, l’Amsterdam Skills Centre for Health Sciences (ASC). La nouvelle structure a noué un partenariat avec l’entreprise de technologie médicale Stryker.
Le Dr Nicolas Mpotos a le vent en poupe grâce à sa nouvelle méthode visant à se (ré)entrainer par le jeu aux gestes de la réanimation. Trois hôpitaux flamands ont accepté d’apporter leur contribution au projet ou de le tester.
Selon le nouveau Global Innovation Index (GII), la Belgique vient d'atteindre le top 25 des pays où l'innovation progresse le plus. Elle gagne deux places. Nos voisins des Pays-Bas sont deuxième. Au niveau mondial, la Chine atteint à présent la 17eme place et les États-Unis stagnent à la 6eme place.
Tel est le slogan provocateur, et c’est assumé, autour duquel est construite la campagne que vient de lancer la SSMIG, la Société suisse de médecine interne générale. Sa cible: les étudiants en médecine, e.a. ceux sur le point de laisser leur cœur balancer pour l’une ou l’autre formation post-graduée. Le but: encourager la jeune génération à embrasser la carrière de MIG, «à cause de la vue d’ensemble».
Le Comité InterUniversitaire des étudiants en médecine (CIUM) reste perplexe face au relèvement des quotas en médecine générale.
Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décidé mercredi, en première lecture, de relever le sous-quota de jeunes médecins qui seront autorisés en 2018 à se spécialiser en médecine générale.
Rendre la formation médicale plus accessible en utilisant la réalité virtuelle : c’est ce que propose Shafi Ahmed, un des chirurgiens les plus regardés au monde et invité vedette du récent congrès en Flandre VR4Care.
C’est une première : le 10 mars, les cinq facultés de médecine francophones - UCL, ULB, ULiège, UMons et UNamur - organisent conjointement un colloque. La manifestation se centrera sur les missions du MG de demain et, partant, sur le meilleur enseignement universitaire à distiller pour l’y préparer.
Les “serious games "médicaux , basés sur la réalité virtuelle, apparaissent comme un moyen alternatif pour évaluer les compétences médicales des étudiants en médecine. Une étude a cherché à évaluer cette méthode comparée aux classiques QCM.
Le Grand Hôpital de Charleroi organise un symposium consacré à l’hospitalisation à domicile: pour le Dr François Roucoux, «des outils informatiques peuvent aider tant le spécialiste que le généraliste».
La ministre De Block entend résoudre les problèmes actuels de formation, surtout du côté des spécialistes, et le risque d’impasse de la double cohorte, avec un "Livre vert." C’est ce qu’elle a déclaré en primeur au Spécialiste et à Medi-Sphère.
Vous ne cherchez pas à faire un stage en province de Luxembourg ou autour de Dinant? Vous ne voulez pas visser votre plaque de MG dans cette contrée? Alors passez votre chemin. santeardenne.be n’est pas pour vous. Quoique… Ce tout nouveau site est si riche en infos que MG et futurs MG de partout ailleurs peuvent aussi y trouver leur bonheur. Voyez plutôt.
La fac’ de médecine de l’UNamur a choisi, depuis 2-3 ans, de mettre ses étudiants en contact avec la médecine générale dès leur BAC3, à la faveur d’un stage d’observation. Ils effectuent ce dernier en juin, chez des «tuteurs». Ces trois semaines d’immersion sont-elles probantes? Résultats de l 'enquête d'évaluation.
Pour la 3ème année consécutive, le RML-B (le Réseau multidisciplinaire local de Bruxelles), son pendant flamand Huis voor Gezondheid et l’Union des pharmaciens de Bruxelles (UPB/AVB), proposent une soirée d’étude à public mixte: médecins traitants et pharmaciens du coin. Le credo des organisateurs n’a pas varié: la concertation entre ces deux métiers, c’est tout bénéfice. Cette fois, ils en feront la preuve par la polymédication.
… et les mains dans la farine, en somme. Pour faire un taping de cheville, des infiltrations, une échographie, un examen des genoux, un frottis gynéco, une réanimation cardio-pulmonaire… L’invitation est lancée aux stagiaires et aux assistants: le 29 novembre à l’EuroSpace Center de Redu, ils auront l’occasion de s’essayer à ces gestes que l’on approche durant le cursus sans pouvoir les répéter souvent. Et qu’il est préférable de maîtriser pour officier comme MG «de campagne».
Les Belges se prononcent massivement en faveur d'une formation obligatoire aux premiers secours, selon une enquête menée par la Croix-Rouge de Belgique à l'occasion de la journée mondiale des premiers soins. Pas moins de 94% des répondants soutiennent cette mesure de manière générale, tandis que 99% voudraient la voir inscrite dans les programmes de l'enseignement.
Le projet «e-santewallonie», cofinancé par l’Inami et la Région, soutient le recours à l’informatique en première ligne. Il consistera tout au long de 2016 en formations pour professionnels. Afin de proposer des contenus réellement adaptés, le Fag, qui coordonne le projet, sonde les habitudes des MG wallons en matière d’e-santé. Si vous voulez contribuer à façonner les sessions qui vous seront proposées, un formulaire en ligne vous attend.
La Fédération Wallonie-Bruxelles et le Grand-Duché de Luxembourg ont signé lundi un projet d'accord de coopération universitaire en formation médicale, indique le ministre-président Rudy Demotte (PS).
Comment apprendre à un patient qu’un incident est survenu pendant son examen ? Ou qu’une erreur médicale a été commise ? Pour se former à cet entretien difficile, les médecins pourraient prochainement bénéficier d’un système de réalité virtuelle simulant l’interaction verbale et non-verbale avec le patient.
Comment l'e-santé s'intègre-t-elle concrètement dans votre pratique? Comment l'expliquer à vos patients? Ce sont là deux des points qu’Abrumet se propose d’aborder lors d’un rendez-vous pour professionnels, en mars prochain, à Bruxelles.
La réalité virtuelle ne se contente pas d'être ludique, elle peut jouer un rôle important dans la formation en médecine. Ainsi un nouveau "serious game" multi-joueurs en réalité virtuelle destiné à former des professionnels de santé à la gestion des risques vient de voir le jour.
A partir de la mi-juillet 2017 le médecin ne pourra plus consulter son dossier individuel d’accréditation pour ses activités de formation continue sans utiliser sa carte d'identité ou un token pour s'y connecter.
Le cabinet de la ministre Magie De Block a réagi suite à la publication d'un communiqué signé par tous les acteurs du monde de la santé qui exigent des investissements dans des stages de formation de qualité,..
D’une seule voix, l’ensemble des organisations francophones et flamandes d’étudiants en médecine, des syndicats médicaux, des doyens et des recteurs de toutes les universités du pays, font savoir qu’ils sont las d’attendre, dans la problématique hautement prévisible de la double cohorte, des solutions qui ne viennent pas.
Le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles adoptera demain mercredi l'avant-projet de décret instaurant, dès la rentrée académique prochaine, un examen d'entrée pour accéder aux études de médecine et de dentisterie. Détail de l'épreuve ...
La commission Enseignement supérieur du Parlement de la Fédération Walloni-Bruxelles a approuvé mardi midi l'avant-projet de décret instaurant, dès la rentrée académique prochaine, un examen d'entrée pour accéder aux études de médecine et de dentisterie.
Le ministre francophone de l'Enseignement supérieur, Jean-Claude Marcourt, a pointé du doigt mardi l'insécurité juridique née selon lui des manquements du gouvernement fédéral dans le dossier des numéros Inami. Il envisage de ne pas organiser le concours de fin de 1e bachelier des études de médecine et dentisterie.
Il devrait manquer l'an prochain pas moins de 1.505 places de stage en médecine, selon un rapport de la cellule de planification de l'offre des professions des soins de santé.
La médecine générale francophone a, pour anticiper la vague d’assistants allant déferler «sur le marché» en raison du phénomène de la double cohorte, initié l’an passé la campagne «médecine générale 2018». L’idée: susciter des vocations de maître de stage. On en est à 105 places de stage gagnées, si tous les MG ayant manifesté de l’intérêt gardent le cap.
«Plusieurs pistes sont sur la table pour offrir des places de stage à tous les étudiants de médecine en 2018», a assuré mardi le président du Collège des Doyens des Facultés de Médecine des Universités francophones, Dominique Vanpee.
«Cette annonce, partie immergée de l'iceberg, couvre ce que d'aucuns qualifient comme une trahison de la part de la ministre qui a réaffirmé sa volonté de ne rien assurer pour ces prochaines années, laissant planer la menace d'une promotion sacrifiée», déclare Quentin Lamelyn, président du CIUM.
«L'accord conclu (...) visait à délivrer des Inami à tous les étudiants dans le cursus de médecine, pas uniquement ceux de dernière année. Par ce geste, Maggie de Block replonge tous les autres étudiants actuellement en formation dans le doute», a réagi le porte-parole de Jean-Claude Marcourt.
Dans un article publié dans La Libre, Quentin Lamelyn, Président du CIUM, revenait sur l’examen d’entrée en médecine, pour lequel le Comité Inter Universitaire des étudiants en Médecine (CIUM) va déposer des recours, et fustigeait au passage le MR. La réponse de son Président n'a pas plu aux étudiants qui a leur tour publient une lettre ouverte à Olivier Chastel.
Le conseil des ministres a décidé vendredi d'attribuer un numéro Inami aux étudiants en médecine qui sont en dernière année et qui réussiront leurs examens en juillet ou en septembre, a indiqué la ministre des Affaires sociales, Maggie De Block.
Giovanni Briganti est vice-président et coordinateur de la recherche au CIUM, le Comité inter-universitaire des étudiants en médecine. Il faisait partie des panelistes invités par le Fag wallon à son AG spéciale sur l’avenir de la médecine générale, samedi. Pour lui, l’examen d’entrée qui fera son apparition début septembre dans les facultés francophones est «tel qu’il va être organisé, tout à fait inutile».
Un tiers des étudiants en médecine ayant obtenu des notes "médiocres" au début de leur cursus ont terminé leurs études parmi les meilleurs, selon une enquête réalisée par des chercheurs de l'ULB et de l'UMons que Le Soir relaie lundi.
Medi-Sphere vous avait déjà touché un mot de l’AG atypique qui se préparait du côté du FAG wallon, pour début décembre. Cette fois, le programme est tombé, et le ministre régional de tutelle Maxime Prévot a confirmé qu’il en serait. Les débats porteront entre autres sur l’attractivité du métier de MG en Wallonie, la (vieille) polémique pénurie versus pléthore, mais aussi l’évolution de la pratique et des cercles.
Le généraliste a-t-il encore une place, et laquelle exactement, en tant que médecin traitant ou coordinateur, au sein de la MRS, notamment à Bruxelles? Tel sera le fil conducteur du prochain «mercredi» (une soirée-débat à jour fixe) de la FAMGB, fin du mois. Le questionnement revêt une acuité particulière avec la régionalisation de la politique de la personne âgée.
L’association faîtière flamande des étudiants en médecine (VGSO) réagit à la prise de position de l’association francophone des étudiants en médecine (Cium) suite à l’arrêt du Conseil d’Etat relatif aux quotas en médecine. Elle a envoyé ses commentaires aux politiciens, à la presse et à l’opinion publique.
Le Comité interuniversitaire des étudiants en médecine (Cium) a écrit le lundi 8 août au premier ministre, Charles Michel, et au président du MR, Olivier Chastel, pour leur demander de revoir la clé de répartition des quotas Inami.
Budget des soins de santé, numerus clausus, lutte contre le cancer… , Maggie De Block reste Maggie De Block... , directe: «Les libéraux sont toujours indépendants. Toutes mes décisions se font dans l’intérêt du patient.» Interview-bilan des dossiers chauds de l’été et de la rentrée.
Jean-Luc Demeere, président du Groupement belge des spécialistes (GBS), retrace dans une tribune libre publiée dans Le Spécialiste la saga du contingentement en Communauté française. «En Fédération Wallonie Bruxelles, on morcelle les compétences et on se moque des lois fédérales, des étudiants en médecine, des parents, et des patients», résume l’anesthésiste.
Benoît Lutgen, président du cdH, et Catherine Fonck, cheffe de groupe à la Chambre, réclament un examen d’entrée pour les études de médecine et de dentisterie, l’organisation d’une année préparatoire facultative pour les étudiants et l’attribution sans restriction d'un numéro Inami à tous les étudiants qui ont réussi leurs études de médecine. Le Dr Fonck propose également d’imposer des tests linguistiques et d’équivalence aux médecins étrangers qui viennent travailler en Belgique. «Il en va de la qualité des soins de santé dans notre pays», prévient la néphrologue.
Ecolo: «Il faut supprimer les quotas Inami!» Cette demande n’est pas nouvelle, Ecolo réclame depuis longtemps la suppression des quotas Inami et leur remplacement par une planification alternative de l'offre de soins, afin d’adapter au mieux l'offre médicale aux véritables besoins de la population. Au moment où il semblerait que Maggie De Block, ministre de la Santé publique, et Jean-Claude Marcourt, ministre de l’Enseignement supérieur, soient sur le point d’accorder leurs violons (lire La Libre du 7 septembre), cette proposition alimente le débat.
Le Centre fédéral d’expertise ne se berce pas d’illusions, les documents qu’il produit – parmi lesquels des guides de bonne pratique – restent mal connus d’une partie des professionnels de santé. Et a fortiori mal appliqués. Pourtant, parce que leur développement est long, ardu et cher, il serait dommage qu’ils prennent la poussière. Le KCE lance donc, ce mois-ci, une enquête on line auprès des médecins (entre autres prestataires de soins): que voudraient-ils trouver comme contenu dans un guideline, et par quel canal le message doit-il leur parvenir?
Le Cartel – syndicat qui regroupe le GBO, le MoDeS et l’ASGB – propose une régulation souple et modulée à l’entrée et à la sortie des études, assortie d’une réorganisation du système des soins. Il recommande de valoriser les spécialités en difficulté et de surveiller celles menacées par une pléthore de praticiens.
Le SPF Santé publique organise le vendredi 30 septembre 2016 une journée d’étude consacrée aux soins pharmaceutiques sécurisés. L’occasion d’échanger les expertises des professionnels de terrain belges et étrangers.
Répondant à la ministre De Block - désireuse de connaître les recommandations ordinales pour le statut et les connaissances linguistiques des “fellows” - le Conseil national propose une série de balises.
Le ministre de l'Enseignement supérieur en Fédération Wallonie-Bruxelles Jean-Claude Marcourt a affiché sa volonté d'organiser dès la rentrée académique de 2017 un examen d'entrée pour accéder aux études de médecine et de dentisterie.
La vie sexuelle ne s’arrête pas net une fois le cap des 50 ou 60 ans franchi. Certes, elle se modifie, mais ne s’éteint pas. Une réalité qu’ont (plus que probablement) intégrée tous les MG s’occupant de patients âgés, et qu’ils encouragent si elle peut contribuer à l’épanouissement des intéressés. Mais les MRS qu’ils fréquentent sont-elles si réceptives à l’idée de pensionnaires toujours verts? L’UOAD, le cercle des MG dinantais, en débattra sous peu.
En tant qu’indépendant, vous vous interrogez sur l’intérêt du passage en société? L’optimisation de vos revenus vous préoccupe?
Le Prix Nobel de Médecine 2016 vient d’être attribué au spécialiste en biologie cellulaire japonais Yoshinori Ohsumi (71 ans) pour ses travaux sur l’autophagie. Les découvertes du lauréat 2016 sont non seulement significatives pour notre compréhension d’un certain nombre de maladies, mais pourraient aussi, dans le futur, déboucher sur des applications thérapeutiques concrètes.
Burn out, stress, anxiété, dépression, tension ou hyperventilation? Le programme de ‘self-help’ du site ‘Mes 15 minutes’ (www.mes15minutes.com), fondé par un médecin et psychothérapeute flamand, avait déjà démontré sa capacité à soulager rapidement le problème. Une étude de suivi vient à présent de confirmer que ce résultat se maintient aussi sur le long terme.
Si le système de l’examen d’entrée tel qu’il existe actuellement en Flandre reste en place, la prochaine génération de médecins sera surtout calée en maths et dans les matières technologiques. Elle se composera de personnes qui, de 16 à 18 ans, auront passé deux années à étudier et qui auront donc complètement manqué la dernière ligne droite de leur adolescence. Voilà, en substance, la teneur de la lettre que la néphrologue Heidi Hoeben a adressée récemment à la ministre flamande de l’enseignement Hilde Crevits. Dans la foulée, elle a accordé une interview au quotidien De Standaard.
C’est une médico-mut assez calme qui s’est déroulée lundi à l’Inami, relate Marcel Bauval, vice-président du GBO. Calme, mais copieuse. Outre les mesures fort médiatisées de restriction des suppléments en biologie clinique et dans la reconstruction mammaire par tissu autologue, l’ordre du jour incluait l’accréditation, à la veille d’un remaniement.
La SSMG a récemment fêté les cinq ans de son portail «mongeneraliste.be», qui a la particularité d’être un site destiné non pas aux médecins membres de la société mais à leurs patients. Les généralistes peuvent «prescrire» à leur patientèle la visite de ces pages web sans craindre un effet désinformation. Depuis 2011, les contenus sont en élargissement constant.
Les contacts médecins-patients seront bientôt très différents, et ce à bien des égards. «Environ un tiers des consultations pourront être assurées par un ‘kiosque’, dont la salle d’attente aura l’apparence d’un siège d’avion de première classe» – une affirmation intéressante parmi tant d’autres, entendue au cours du congrès Health by Technology 1.0 organisé récemment à l’AZ Damiaan.
Une expérience pilote imminente tend à analyser l’intégration du 112 et du 1733. Centrée sur la région de Louvain et Tirlemont, elle était supposée s’ouvrir à des cercles francophones – très déçus d’apprendre qu’ils n’en seraient finalement pas. Le test des protocoles commencera le 1er avril. Un symposium détaillant le projet, avec participation de Maggie De Block, se tiendra le 26 mars à Louvain.
Pour l’Absym, il est «totalement inconséquent» de laisser des «cohortes entières» de jeunes se lancer dans une carrière médicale dès lors que le niveau d’expérience qu’ils auront pu acquérir durant leurs études sera, vu leur nombre excessif, «totalement insuffisant». Jacques de Toeuf se désole de «l’agitation [qui] reprend du côté francophone».
Le réseau Intego s’apprête à entamer sa troisième décennie d’existence. Il s’agit d’un réseau d’une centaine de MG éparpillés sur l’ensemble du territoire flamand, qui enregistrent des données relatives à leurs patients par le biais du DMI. Une compilation utile, désormais accessible en ligne, pour repérer des tendances ou cerner l’impact d’une action de sensibilisation.
Abrumet, qui gère le Réseau santé bruxellois (RSB), propose aux MG un coup de pouce gratuit pour se familiariser avec l’outil. Au menu, de l’aide pour s’inscrire, installer l’indispensable certificat eHealth, apprendre à consulter et déposer des documents sur le RSB... L’offre est en cours; une cinquantaine de MG de la capitale pourraient encore en profiter.
Les scientifiques sont aujourd’hui soumis à une pression de publication extrêmement élevée, avec à la clé un impact néfaste sur la qualité voire même de véritables manipulations. Et, tant en Belgique qu’à l’étranger, ils en ont plein le dos!
En octobre 2016, l’université d’Anvers (UA) lancera une formation post-graduée, avec stage en cabinet de médecine générale, destinée aux infirmiers. «Nous souhaitons ainsi répondre à une demande émanant directement des médecins de famille», explique le Pr Peter Van Bogaert, président de l’Unité soins infirmiers et obstétrique à l’UA.
Dans un précédent article, le Dr Peter Pype nous a indiqué que la formation continue en soins palliatifs doit prendre d’autres formes, et qu'un programme conjoint est nécessaire dans ce cadre. Les généralistes souhaitent rafraîchir leurs connaissances en matière de soins palliatifs. En attestent les nombreuses questions qu’ils posent à l’équipe de prestataires de soins palliatifs à domicile. Toutefois, les informations ne prennent pas toujours la forme de connaissances durables. La formation des prestataires de soins palliatifs visant à optimiser la concertation semble offrir de nouvelles possibilités. Published ahead of print.
En 2015, le master en sciences infirmières et accouchements de l’université d’Anvers fêtera ses dix ans d’existence; c’est pour célébrer dignement cet anniversaire que se tiendra du 4 au 6 février le congrès CARE4. «Le programme s’adressera non seulement aux infirmiers et accoucheurs, mais aussi à toute une série d’autres professionnels de la santé, dont les médecins», précise Peter Van Bogaert, responsable de son organisation. Published ahead of print.
Une formation de master en sciences infirmières et accouchements ne peut être construite sur des bases solides que s’il existe également dans ces disciplines une activité de recherche innovante qui leur permette de rester en phase avec les tendances du moment. Peter Van Bogaert, coordinateur du Centre for Research and Innovation of Care de l’université d’Anvers, illustre cette position à l’aide d’un exemple concret. Published ahead of print.
Plusieurs propositions sont sur la table afin de régler la crise politique provoquée par la pénurie de numéros Inami pour les étudiants en médecine: attribution d’un numéro à tous les étudiants actuellement en formation, lissage négatif des numéros à partir de 2021, introduction dès la prochaine année académique d’un filtre au début des études de médecine et de dentisterie… Maggie De Block présente sa solution, fruit d’une concertation avec les parties concernées.
Le 18 mars paraissait au Moniteur belge l’AR octroyant un subside au Cebam, le Belgian Centre for Evidence-Based Medicine. L’institution, qui emploie actuellement 12 personnes (pas toutes à temps plein), se voit accorder un montant de 181.000 euros – juste à temps pour lui permettre de poursuivre ses activités, car cette somme doit couvrir ses frais de fonctionnement pour 2014.
Pourquoi l’idée d’un examen à l’entrée des études de médecine rencontre-t-elle une telle opposition de principe? C’est la question que soulèvent, de concert, SSMG, Fag, GBO et ABSyM. Ils dénoncent les travers du «filtre à un an» préconisé par Jean-Claude Marcourt. La compétition effrénée qu’il entraîne ne sert pas de futurs médecins, qui devront plus tard travailler en équipe. La médecine générale francophone convie les décideurs à «ne pas s’arc-bouter sur des positions idéologiques».
Toute personne travaillant ou œuvrant dans le secteur de la santé est invitée à soumettre sa candidature. Le gagnant de chaque catégorie remportera en plus d’une reconnaissance et de la médiatisation de son projet, la somme de 3.000 euros. Les candidatures doivent être soumises pour le 24 avril 2015 sur le site www.welldoneawards.be.
Fin de semaine dernière, Jean-Claude Marcourt, ministre de l’Enseignement supérieur, a fait adopter par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles un avant-projet de décret qui organise un concours en fin de 1ère année dans les études de médecine. Il fait observer qu’on ne lui a toujours pas démontré la nécessité d’un contingentement. Il dit attendre le cadastre dynamique promis par Maggie De Block.
Quelles sont les relations des médecins, spécialistes et pharmaciens avec le digital? Quels usages font-ils de l’internet? Comment ont-ils intégré les ressources et applications numériques à leur pratique quotidienne? C’est ce que le Centre d’Etudes sur les Supports d’Information Médicale a voulu cerner au travers d’une grande enquête menée auprès des professionnels de santé. Résultats?
Medi-Sphere N° 776
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